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2.

Psychologue clinicien/Psychothérapeute

Me consulter comme psychologue clinicien et psychothérapeute

Qui est concerné

Adolescents, adultes, couples.

Accessible aux personnes à mobilité réduite.

 

Quels motifs?

Vous pouvez venir me consulter quelque soit votre motivation ou besoin. Tout ce qui vous pose difficulté ou que vous souhaitez voir évoluer peut être accompagné.

Si cela concerne une situation ponctuelle (événement de vie, séparation, deuil), une dynamique plus profonde (traumatisme de vie, handicap, troubles du comportement, dépression …) ou bien des symptômes invalidants (angoisses, phobies, changement d’humeur, trouble du sommeil …) ainsi que des difficultés relationnelles ou d’accompagnement d’une particularité (échec scolaire, souffrance en milieu professionnel/familial, enfant intellectuellement précoce, autisme).

Quels moyens d’accompagnement ?

  • Le soutien psychologique : entretiens en face à face autour de ce qui vous pose problème. Il s’agit d’une écoute attentive en vue d’éclairer la situation et d’identifier vos ressources personnelles ou familiales pour y faire face.

  • La psychothérapie : processus d’accompagnement plus engageant où la volonté de changement, de résoudre un symptôme est centrale. Le cadre proposé est fonction de vos attentes et besoins. Ainsi, il peut être d’inspiration psychodynamique (axé autour de la compréhension de votre parcours de vie et des enjeux psycho-affectifs tissés au cours de votre vie) ou plutôt orienté vers des thérapies cognitivo- comportementale (la volonté première est d’agir rapidement sur le symptôme afin d’apaiser une situation aigue) et la psychothérapie EMDR (remédiation neuro-émotionnelle par stimulation bilatérale alternée des yeux). 

« J'ai de nouvelles clefs pour débloquer des situations en courses »

Mathieu (21 ans), pilote moto de circuit

« C'est tout vide dans ma tête... comme si j'étais seule et qu'il n'y a personne qui me regarde ; ça fait du bien !»

Mathilde (21 ans) tir sportif

« Je sais que je me suis blessé au genou, que je reprends mais je n'ai plus cette appréhension de me faire mal à nouveau »

Mathéo (28 ans), rugbyman

« J'ai confiance, je me vois sauter l'obstacle où j'ai chuté, sans cette boule au ventre qui m'empêchait de reprendre les concours »

Charles (48 ans) cavalier CSO

« J'ai envie d'aller courir là ! Je fais ma course sans regarder mes rivales. Je fais ma course et reste concentrée sur ce que je sais faire »

Safia (19 ans), athlétisme

© 2018 par Olivier STRAK

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